Une abbaye, c’est comme une entreprise : il y a aussi une hiérarchie. D’un côté les moines qui prient ; et de l’autre les frères lais, des laïcs ayant prononcé de simples vœux. Et souvent, c’est à eux qu’on doit la bière d’abbaye.

Des blondes, des blanches, des rousses, des brunes, des ambrées… Des couleurs de bières, il y en a un paquet. C’est même souvent un moyen de les différencier. Mais d’ailleurs, qu’est-ce qui donne sa couleur à la bière ?

Ça commence dans un faitout, un après-midi de juillet. On passe ensuite à la dame-jeanne. Puis on finit par la baignoire. Grâce à Internet, brasser sa bière n’est plus si compliqué. Et depuis 2007, on peut même l’apprendre… à la fac.

Y’a plus de saison ? Pour la bière, si : et il existe même depuis longtemps une bière dite « saison », justement. De nos jours, elles s’appellent bière de Noël ou d’octobre et bières de mars ou de printemps. Mais derrière tout ça, se cache une origine historique simplement pratique. Révélations.

Celles et ceux d’entre nous qui s’engagent de nos jours multiplient les actions pour lutter contre le réchauffement climatique, l’utilisation des plastiques ou le gaspillage alimentaire. Et dans cette dernière catégorie, on pourrait faire de grands progrès… en brassant de la bière.

Depuis quelques années, la bière IPA a fait son grand retour. Elle trône désormais fièrement sur les comptoirs des bars. Qui est-elle, d’où vient-elle ? On a mené l’enquête.

Des scientifiques israéliens ont reproduit la bière que buvaient les pharaons il y a plus de 3 000 ans !

Quand on pense “bière irlandaise”, il est difficile de penser à autre chose qu’à la Guinness.

Demory Paris, c’est une brasserie parisienne de craft beer de renommée.